🦣 Comment Devenir Une Fée De La Nature

Dansces conditions, comment devenir une fée du logis plus vertueuse ? Pas de magie. Tournez-vous vers des produits plus écologiques. Mais attention, ne vous laissez pas avoir par les arguments Unefée est un être légendaire, généralement décrit comme anthropomorphe et féminin, d'une grande beauté, capable de conférer des dons aux nouveau-nés, de voler dans les airs, de lancer des sorts et d'influencer le futur. L'idée que l'Homme se fait des fées varie selon les cultures et les pays : revenantes, anges déchus, élémentaires ou même Je vous dis comment devenir une force de la nature”Nous avons en nous de quoi devenir de véritables forces de la nature. Par des moyens simples et naturels, Unefée du feu en action directe dans la matière quelques informations sur les fées du feu Vibration parfois très haute voir difficilement supportable pour l’homme entre 30000 % et 40000 %, un niveau approchant les Jessaierais de parler de ces derniers afin de vous familiarisiez avec eux et je vous donnerais également des conseils pour les voir et communiquer avec eux. Tout cela bien sur dans le respect et l'amour. Soyez le bienvenue sur mon blog "De la magie dans l'air". Je suis Allyenor Digandal. Selonfée de la légende, des fées veillent sur les humains comme ils volent à travers les fleurs et les cacher parmi le bruissement des feuilles. Les fées.. Dansun bol avec de l' eau, saupoudrez de sel de mer (un couple de pincements), ajouter du shampoing ou du savon liquide (pour un arôme agréable), dire après sa fille qu'elle lave ses mains dans le 8Ne laisse pas les choses stupides briser ta joie & protège toi grâce à ton bouclier imaginaire arc-en-ciel anti-cons. Tu verras tu prendras tout de suite mieux les petites mesquineries quand tu imagineras la scène que tu es en train de vivre comme si tu la voyais. à travers une bulle arc-en-ciel. 9. 3étapes pour devenir une « commune nature ». L’élaboration d’un plan de désherbage ou de gestion différenciée des espaces verts : Il a pour objectif le repérage et le classement des zones traitées, avec évaluation des risques pour les ressources en eau. Il doit intégrer un diagnostic des pratiques en matière de traitement MtgWzr. Télécharger l'article Télécharger l'article Oubliez le chapeau pointu, le balai et les incantations désuètes. Il y a eu beaucoup de malentendus sur les sorcières. La sorcellerie est une forme de magie traditionnelle complexe qui implique une connaissance approfondie de la nature, du monde spirituel et de soi-même. La sorcellerie pourrait vous convenir si vous êtes attirée par des univers différents et si vous ne pouvez pas vous contenter des croyances traditionnelles. Il s'agit d'une grande aventure et l'apprentissage de toute une vie. Il faut aussi avoir un sens critique et analyser les faits, la sorcellerie est une affaire de recherche historique et de lecture d'anciens manuscrits. 1 Apprenez à reconnaitre différentes traditions de magie. Il n'existe pas une seule école de magie, de sorcellerie ou d'envoutement, ce qui fait que les novices et les personnes non averties ont souvent du mal à démêler le vrai du faux. Il faut investir pas mal de recherches, d'études, de volonté et d'engagement personnel pour devenir une bonne sorcière. Suivant vos centres d'intérêt, vous pourriez choisir une école de pensée et de traditions qui pourrait vous intéresser davantage. Voici les styles de sorcellerie parmi les plus courants. La Wicca et la sorcellerie écolo » sont très populaires aux États-Unis et s'agencent souvent autour de l'étude de la terre et des rituels tirés de la nature et de la méditation. Les premiers Wiccans étaient les disciples de Gerald Gardner, un maitre de magie anglais du 19e siècle dont les idées et les travaux ont été popularisés dans les années 50. Cette pratique devrait vous convenir si vous vous intéressez aux cristaux, à l'usage des plantes, aux rituels et aux huiles essentielles. Malheureusement il est à noter que le travail de Gerald Gardner est sujet à caution quant à son authenticité historique, étudiez-le, mais ne prenez pas tout pour argent comptant [1] . Le néopaganisme et le druidisme ainsi que d'autres pratiques magiques anciennes s'intéressent à l'histoire et aux traditions et pratiquent surtout leur art en accord avec les saisons. Ce style pourrait vous plaire si vous désirez retourner aux origines de la sorcellerie traditionnelle. Le druidisme fut un culte ayant des pratiques magiques en son sein, il est à conseiller de lire des ouvrages spécialisés dans ce domaine archéologique qui sont les seules sources sures. En effet la véritable transmission orale s’est perdue et les mouvements modernes sont néodruidiques. La sorcellerie locale et ésotérique telle que la Santéria, la Stregheria, le Pharmakos et d'autres formes de sorcellerie sont aussi assez courantes, suivant l'endroit où vous vivez et vos traditions culturelles. Recherchez les pratiques qui se font près de chez vous si vous êtes très attachées aux coutumes de votre région. Pour cela, il existe des séries de livres sur les traditions de chaque région. 2 Lisez abondamment au sujet des différentes coutumes et histoires de sorcellerie. La sorcière novice apprendra rapidement que chaque adepte a des rituels qui lui sont propres. Il n'existe aucun manuel de sorcellerie ni de règles bien établies pour guider les sorcières. Mais il existe de vieux recueils qui peuvent éclairer sur ces pratiques méconnues [2] . Tout ce qui prétend le contraire est faux. Votre pratique sera la vôtre et non pas celle de quelqu'un d'autre. Il est donc important de prendre les avis de spécialistes » avec des pincettes. Vous pouvez lire quelques classiques de la magie, mais ces pratiques ne devraient pas aller à l'encontre de votre propre compréhension de cet art ni de vos propres pratiques. Vous pouvez lire les auteurs et ouvrages classiques suivants. Allan Kardec L'histoire de l'Occulte de Colin Wilson Le Malleus Mallificarum ou Marteau des Sorcières, un ancien traité de sorcellerie utilisé par l'inquisition et faisant partie des textes caricaturaux de l'époque. Le Grand Livre de la Sorcellerie de Raymond Buckland Dogme et rituel de la haute magie. T1 et T2 Dogme / par Eliphas Lévy Consultez les écrits wiccans de Gerald Gardner, de Doreen Valiente et de Scott Cunningham. Edouard Brasey, Olivier Michaud, Patrick Guérin, Serge Arias, Arnaud Thuly, Robin Artisson, Gemma Gary, Mélanie Marquis et René Louis ont tous largement décrit les traditions de la sorcellerie dans leurs ouvrages. 3 Développez des objectifs personnels pour votre pratique. On ne le répètera jamais assez devenir une sorcière est un parcours très personnel. Il n'existe pas de méthode unique pour pratiquer. C'est pourquoi il est important que vous en sachiez le plus possible, trouviez ce dont vous avez besoin et mettiez par écrit vos propres objectifs et votre itinéraire pour vous-même. Vous pourriez vous aider en tenant un journal, en gardant des notes de ce que vous comptez explorer et ce que vous désirez découvrir. Quelques questions peuvent vous aider dans ce sens, mais c'est à vous de trouver les réponses. Comment développer vos talents personnels ? Quels types de sorts et d'incantations voudriez-vous faire ? Qu'espérez-vous apprendre en devenant une sorcière ? En quoi la sorcellerie peut-elle améliorer ou changer votre vie ? 4 Repérez les arnaques. Méfiez-vous des cours payants et autres initiations en ligne. Vous ne pouvez pas apprendre la sorcellerie en 25 leçons via un site qui vous demande de payer 39,95 euros. La sorcellerie ne consiste pas à suivre des règles préétablies de A à Z. Néanmoins, il existe des bases que vous découvrirez par vous même. Il s'agit d'un itinéraire personnel de découverte et de travail spirituel intense. Engagez-vous à apprendre sur le long cours et d'en savoir le plus possible sur l'art de la magie. La signification de l'état de sorcière » et de la pratique de la sorcellerie » sera radicalement différente d'un pratiquant à l'autre. Ne prenez pas tout pour argent comptant. Changez de sorcières si certaines ne veulent pas vous aider ou ne sont pas d'accord avec une pratique en particulier ou une lecture que vous trouvez puissante. Trouvez un groupe de pratiquants qui sont sur la même longueur d'onde et ignorez les esprits contestataires tout en évitant les gourous ou illuminés que cela soit sur le net ou dans un café. Publicité 1 Rassemblez les outils nécessaires pour votre pratique. Vous devez d'abord trouver les outils de base pour commencer à utiliser des sortilèges. Non, vous n'avez pas besoin d'un balai ni d'un chapeau pointu. Chaque sorcière aura besoin d'outils différents pour procéder à des rituels particuliers, mais les éléments de base sont plus ou moins les mêmes. Trouvez une baguette magique un bâton et un miroir. Les bâtons sont choisis suivant la personnalité de la sorcière. Il s'agit simplement de trouver et de charger un bâton en énergies, mais c'est aussi bien plus que ça. Prenez le temps d'errer dans les bois ou dans votre jardin pour trouver un bâton assez court qui vous convienne et qui vous interpelle le bâton de marche peut très bien faire office, ainsi vous pourrez vous déplacer avec durant vos promenades. Vous saurez quand vous l'aurez trouvé en le testant durant vos pratiques et en comparant différents types de bois. Le miroir sert à la divination et l'évocation, Sédir avec son livre sur les miroirs magique en fait une bonne description. Les pilons et mortiers sont des objets importants pour faire un rituel. Vous trouverez des mortiers et des pilons dans n'importe quelle quincaillerie et on en trouve dans la plupart des cuisines pour broyer des plantes et mélanger d'autres ingrédients en une potion capiteuse. Les plantes telles que l'hamamélis, l'armoise, la sauge, la lavande et bien d'autres sont couramment utilisées en sorcellerie. L'Encyclopédie des Herbes Magiques de Scott Cunningham est un guide incontournable pour la sorcière novice. Vous pouvez y apprendre le pouvoir et les usages différents des herbes les plus courantes. Mais il vous suffira de lire une bonne encyclopédie des plantes médicinales. Les essences minérales et le sel sont utilisés pour purifier et protéger vos rituels. Les essences minérales et le sel sont des protections courantes contre le monde des esprits. Vous pouvez vous protéger en chargeant vos outils d'essences minérales et en vous entourant d'un cercle de sel protecteur. NB Papus conseille aussi la poudre d'aimant et d'autre le charbon de bois. 2 Chargez vos outils d'énergie. Les bâtons, cristaux et autres éléments impliqués dans des rituels de haute magie doivent être soigneusement purifiés et chargés pour en éliminer les énergies psychiques négatives. Servez-vous des traditions et techniques en usage dans votre pratique et purifiez vos outils. Chaque tradition de magie va proposer des techniques de purification différentes, mais la plupart des sorcières se servent généralement de l'énergie lunaire ou solaire pour charger ou purifier leur bâton de cérémonie, pour laisser l'objet absorber l'énergie lunaire en restant toute une nuit au clair de lune. Vous pouvez aussi frotter votre bâton aux essences minérales, une pratique assez courante pour débarrasser l'objet de toute énergie psychique négative. 3 Purifiez l'environnement. Vous n'avez pas besoin de faire vos rituels magiques et incantations à minuit, au milieu d'une sombre forêt. Vous pouvez le faire tout aussi efficacement dans le confort de votre chambre à coucher. Choisissez un endroit sûr où vous êtes à l'aise et où vous ne serez pas dérangée. Choisissez une place où vous pouvez rester sans être interrompue et aussi longtemps qu'il le faut pour procéder à votre rituel. Par contre le charme du jardin et des arbres peut aider à créer une ambiance poétique. Méditez pendant quelques minutes, suivant votre pratique. Offrez une prière de protection en exigeant que les mauvais esprits et les énergies négatives se tiennent loin de vous et invitez la lumière et les énergies positives à entrer dans votre cercle incantatoire. Méditez sur la tâche qui vous attend. Allumez des bougies et préparez les objets qui seront nécessaires pour le rituel que vous allez faire. Si d'autres personnes participent à la cérémonie, rassemblez-vous, tenez-vous par la main et récitez ensemble les prières de protection. Unissez-vous. 4 Tracez le cercle protecteur. Chaque tradition de sorcellerie se sert d'objets et de méthodes différentes pour tracer un cercle, mais vous pouvez utiliser indifféremment des bougies, des pierres, de la craie ou des bâtons pour créer votre cercle incantatoire. Ce qui compte, c'est l'intention. Le cercle est une barrière de protection physique ou psychique qui vous permet de canaliser les divinités, les pouvoirs et les énergies nécessaires pour votre rituel. Dans bien des traditions de magie, un cercle doit contenir une bougie posée aux quatre points cardinaux, au nord, au sud, à l'est et à l'ouest. Il est aussi bon de garder dans votre cercle un élément qui représente chacun de ces points cardinaux. Une poignée de terre, un verre d'eau, la flamme d'une bougie et d'autres éléments devraient être présents. 5 Lancez votre sortilège. Souhaitez la bienvenue aux éléments et aux divinités que vous invoquez et dites à haute voix la raison pour laquelle vous les appelez. Vous devriez réciter des invocations ou des prières précises et vous devriez aussi procéder à votre rituel à ce moment-là. Vous pouvez trouver une série de rituels en ligne ou dans les ouvrages mentionnés plus haut [3] . Appelez l'énergie dont vous avez besoin. Le but d'un rituel est de faire de votre cercle un canal de diffusion à travers lequel vous pouvez entrer en contact avec le monde invisible des énergies et des esprits. Quand vous entrez en contact avec ces énergies, vous devez le faire en toute sécurité et vous devez aussi pouvoir vous en défaire sans mal. 6 Mettez fin au rituel en toute sécurité. Remerciez les divinités de vous avoir honorée de leur présence. Remerciez les éléments pour leur aide et leur soutien pendant votre rituel. Refermez ou ouvrez le cercle magique, suivant la tradition à laquelle vous appartenez. Les adeptes de la Wicca pratique ce que l'on nomme La Règle des Trois Que ces mots assurent ta plénitude et que rien de ce que tu feras ne pourra te nuire ». La Règle des Trois stipule que tout ce que vous faites vous reviendra au triple. Vous devriez donc faire preuve de sagesse, réfléchir à ce que vous faites et aux conséquences de vos actes sur les autres. Publicité 1 Trouvez un guide. Comme les rituels peuvent être assez intimidants pour une novice, il est important qu'une sorcière débutante se fasse aider dans l'exploration du monde de la magie. Trouvez des sorcières plus expérimentées qui pourront vous soutenir dans l'apprentissage de l'occulte, vous recommander des lectures et vous montrer l'une ou l'autre chose au sujet des rituels. N'oubliez jamais que l'habit ne fait pas la sorcière, méfiez-vous des personnes trop influentes dans votre vie. Ne mentez jamais sur votre expérience et votre maitrise de la sorcellerie. Ne vous présentez pas comme une sorcière expérimentée si vous ne faites pas la différence entre un bâton et un chaudron. On ne vous respectera pas et on verra vite la supercherie. Il vaut mieux rester honnête sur vos connaissances et être disposée à en apprendre davantage [4] . 2Tenez votre propre Livre des Ombres. Quand vous débutez en sorcellerie, il est bon d'avoir votre propre manuel de sortilèges. Là encore, il n'a pas besoin d'être relié en vieux cuir ni être taché de sang de chèvre, trouvez-vous simplement un gros cahier. Décorez-le comme vous le feriez pour un journal intime à l'aide d'images que vous trouvez puissantes, émouvantes ou pleines de sagesse magique. Servez-vous de ce livre pour y noter vos rituels, vos observations et les incantations que vous avez trouvées dans vos différentes lectures. 3 Créez un autel. Vous n'avez pas besoin de créer un autel élaboré où y trône le crâne blanchi d'un mystique du 12e siècle, bien que l'idée soit géniale ! Un autel est simplement un lieu pour vos pratiques rituelles. Il devrait faire figurer en évidence vos totems personnels et les objets qui vous inspirent ainsi que tout ce dont vous avez besoin pour vos rituels. Cela peut être des cristaux, des plantes, des pierres, des images et tout autre objet qui a de l'importance pour vous. Décorez votre autel d'objets qui ont une grande importance. Si vous êtes une adepte de la Wicca, il serait bon de décorer votre autel de laurier, de fleurs et de plantes séchées et d'autres éléments de la nature. Trouvez des pierres qui vous interpellent, d'étranges coquillages ou d'autres objets qui ont du pouvoir et de la beauté. Si vous êtes une druidesse adepte du spiritisme sinon évitez cela ou une adepte d'une autre tradition, gardez sur votre autel beaucoup de photos de votre famille et de vos ancêtres. Si vous n'en avez pas, mettez-y des objets très anciens, des clichés de soldats de la Première Guerre mondiale ou d'anciennes montres de gousset, des choses qui vous rappellent le passé et vous aident à vous y connecter. 4Pratiquez rituellement en accord avec les saisons. Les sorcières doivent être en phase avec les changements de saisons et avec les transitions d'une phase à l'autre. Mettez-vous au diapason des cycles de la Lune et pratiquez vos rituels en accord avec les différentes phases lunaires, les équinoxes et d'autres éléments significatifs d'un changement de temps. Procurez-vous un calendrier astrologique et apprenez à comprendre les mouvements planétaires. Soyez attentive aux changements de saisons et à vos réactions physiques, émotionnelles et psychiques. 5 Collectionnez les objets magiques. Quand votre Livre des Ombres se remplit et déborde de rituels, il est aussi utile que vous augmentiez vos collections d'objets rituels. Procurez-vous des plantes et des huiles essentielles pour vous en servir lors de vos rituels et augmentez votre collection de plantes et d'huiles aux pouvoirs magiques. Prenez l'habitude de vous en servir en connaissant leur usage précis. Collectionnez des pierres précieuses et des cristaux, méditez avec eux et découvrez ceux qui vous inspirent et ceux que vous pouvez utiliser pendant vos rituels. Vous pouvez acheter les plantes et les pierres, mais il est aussi bon d'apprendre à cueillir et à faire sécher des herbes vous-même. Vous devriez vous connecter le plus possible avec la Terre. Trouvez un ouvrage sur les plantes de votre région et sortez souvent pour trouver des herbes aux vertus magiques. Farfouillez dans les lits de ruisseaux pour trouver des cailloux précieux [5] . Publicité Conseils Ne Parlez pas juste à un adepte de la Wicca ou d'une autre tradition avant de prendre la décision d'en être une à votre existe des forums remplis de gens de différentes traditions qui vous informeront gratuitement. Mais vous pouvez trouver des adeptes en ligne, ainsi que des associations de wiccans locaux si vous voulez vous joindre à l'une d'elles. Suivez votre intuition. Allez-y si vous le sentez bien, sinon, abstenez-vous. Votre intuition reste votre outil le plus puissant. Souvenez-vous que la Wicca et la sorcellerie sont deux choses différentes. Vous tomberez sur des informations qui diront le contraire, mais vous devriez généralement y songer ainsi la Wicca est une religion et la sorcellerie est une compétence. On peut se servir de la magie dans différentes religions et dans des contextes variés, ce qui n'est pas le cas de la Wicca. Ne soyez pas abusée par des chichis New Age. Des auteurs reconnus ayant écrit des douzaines d'ouvrages peuvent paraitre convaincants, mais ils ne vérifient pas toujours ce qu'ils avancent et peuvent être très mal informés. Pourquoi ? Certains sujets sont plus vendeurs que d'autres. Faites preuve d'esprit critique vis-à-vis de TOUS les livres que vous consultez. Publicité Avertissements Sachez ce que vous faites ou vous pourriez vous faire beaucoup de mal, que ce soit en magie ou autrement. Respectez les autres, ainsi ils vous respecteront. Publicité À propos de ce wikiHow Cette page a été consultée 130 615 fois. Cet article vous a-t-il été utile ? Au XIIe siècle apparaissent les fées, hors de toute religion, comme détachées d'une mythologie qui n'a pas survécu au temps. Ces personnages féminins légendaires dotés de pouvoirs surnaturels créent leur propre monde de références, puisant dans d'anciennes croyances jamais totalement oubliées. Porteuses de mémoires mais libres de tout système, elles se constituent d'un faisceau de traditions anciennes qui rappelle que le langage de la nature et la mémoire païenne restent ancrés en nous. Féministes, libertaires, écologistes avant l'heure, que nous disent-elles des préoccupations des hommes, de leurs inquiétudes, de leurs espoirs ? Comment incarnent-elles notre éternel besoin de rester liés aux forces de l'imaginaire, de revenir à l'origine de nos rêves et de nos fantasmagories ? La fée aux origines de la littérature Depuis neuf siècles, les fées se mêlent aux domaines littéraires et artistiques, aux mythes et aux légendes. C'est au milieu du XIIe siècle que naît le roman dont le mot désigne la langue romane, héritière du latin et ancêtre du français. Celui-ci détourne l'usage de l'écrit jusque là réservé à la transmission du savoir et à la religion. Apparaissent ainsi des récits qui se justifient par le seul plaisir de les lire ou de les écouter, des œuvres de divertissement, la naissance de la fiction. Pour composer ses lais, Marie de France, première poétesse en langue romane a recueilli ses récits de la bouche des conteurs bretons. Les bardes des cours d' Angleterre, de Champagne, d'Alsace ou d'Italie qui chantaient leurs poèmes reprenaient des éléments de leur ancienne mythologie pour les composer en contes et légendes. Ces thèmes, sources inépuisable d'inspiration furent matière aux premiers romans. C'est dans cette mouvance que naquit la fée, nouvelle venue dans le répertoire du récit merveilleux. Entrée en scène des fées Unissant leur destin au quotidien des hommes, imparfaites, éphémères et fascinantes, sont apparues des créatures féminines d'essence surnaturelles nymphes, dryades, apsaras nymphes célestes hindoues, Walkyries etc.. La fée présente une identité unique qui parle d'une relation particulière et inédite au monde spirituel d'un échange étroit entre ce monde-ci et l'autre monde. Issue des croyances populaires, elle est d'une grande beauté et peut distribuer richesses et bienfaits. Dans le milieu paysan existe une dénomination variée pour les esprits des bois et des eaux. L'origine du mot fée, issu du latin fata, met l'accent sur le rôle que jouent les fées dans la destinée humaine, qu'elles la prédisent, la transforment ou la maîtrisent. D'abord adjectif autant que nom, fée » ou fae » désigne tout ce qui se révèle doté d'une essence surnaturelle montagne, arbre, château, cheval, chevalier.. Le verbe féer doué d'un pouvoir magique existe et perdure très tard dans le folklore. Mais la dame fae détourne le mot à son usage exclusif. Dans ce mot résonne la notion d'enchantement, de la merveille au sens médiéval du terme ce qui est contraire à l'ordre de la nature qui le dépasse dans la beauté ou dans l'horreur. A la naissance du personnage, différents termes sont utilisés déesse, nymphe, femme des forêts, démone ou succube ..sans que l'on puisse s'accorder sur eux. Difficile de cerner la nouvelle venue, qui emprunte aux déesses et aux esprits de la nature des panthéons grecs et latins autant qu'à ceux des bois et des eaux des anciens Germains. En elle se recomposent diverses traditions de l'Europe, donnant une nouvelle dimension au légendaire, ce qui lui permet de prendre place dans une société devenue chrétienne. Une naissance dans le monde celtique Le caractéristiques de nos fées se trouvent chez ''la Ban Sîd '' la femme de l'autre monde de la mythologie celtique. Les cheveux d'or, la peau pâle, la bouche rouge, les cils noirs, dévoilée plus que vêtue de blanc, de vert et d'or, elle navigue sur une barque de cristal ou monte un cheval harnaché d'argent, accompagnée de musique. Ses domaines de prédilection sont les eaux douces, la mer dans les contes gaéliques d'Irlande et d' Écosse puisqu'elle vient des îles au nord du monde, royaume semblable aux îles d'Avalon. C'est aussi une fille des forêts qui peut prendre la forme d'une biche, d'un oiseau, d'un renard. Son apparence, son comportement, sa capacité à donner le jour à des enfants avec un humain la désignent comme une créature hybride. Elle vient dans le monde des hommes pour réclamer celui qu'elle choisit d'entraîner vers l'amour, parfois vers la royauté. Les Walkyries, vierges guerrières qui servent Odin, choisissent, pendant les combats, des héros à la bravoure exceptionnelles et les mènent au ''Valhalla'' le paradis nordique. La Walkyrie la plus connue est Brünnhilde, jeune fille d'Odin, amoureuse de Sigurd-Siegfried puis instigatrice de son assassinat. Les fées médiévales empruntent leur savoir aux anciennes prêtresses des Celtes et des Germains, qui connaissent les plantes, les étoiles et maîtrisent le temps. Chateaubriand fait dire à sa druidesse Vélléda les fées gauloises ont le pouvoir d'exciter les tempêtes, de les conjurer de prendre la forme d'animaux ». La fée Morgane appelle la tempête et commande aux vents depuis son sanctuaire à l'ouest de toute terre sauvage. Viviane Dame des lacs se joue de l'élément liquide sous diverses forme. Amante ou mère, la fée élève les jeunes héros au cœur des forêts, leur apprenant le courage, la liberté, la poésie en même temps que le bon usage de l'arc et de l'épée . C'est ainsi que Viviane assurera l'éducation de Lancelot par des maîtres qu'elle fait venir dans un château aux abords d'un lac. Les fées faiseuses de rois La fée apporte un témoignage sur la société dans le dit et dans le non-dit en ce XIIe siècle où le poids des guerres se fait plus léger, apportant une richesse et une liberté nouvelle, alors que la chape de la féodalité se fissure, que les villes se développent, tandis que le christianisme émaille le territoire d'églises et d'abbayes. Elle prend place dans cette convergence entre l'évolution et une culture en train de naître. Héritière des anciens cultes, son ancrage dans la littérature la maintient dans le monde commode de la fiction. Mais elle est seulement toute-puissante dans un domaine particulier, un lieu, une fonction précise, dans un temps limité et soumise à une stricte contingence telle la fée Viviane enfermée dans les limites de Brocéliande, ou telle Mélusine unie malgré elle à la famille des Lusignan dans la contrainte d'un pacte impossible à délier. Des familles régnantes, tout à fait historiques revendiquent leur intronisation par la bienveillance de déesses ou de fées. Pour ces dynasties, une telle filiation est synonyme d'un prestige hors pair. Elle les aident à se réclamer du monde surnaturel, à transcender le temps, s'affirmant d'une essence différente, s'affranchissant de l'église sans s'opposer à elle. Richard cœur de Lion se vantait par exemple d'avoir dans ses veines du sang de la démone pour justifier ses actions amorales. Les Plantagenêts élisent comme ancêtre historique la figure mythique du Roi Arthur le roi le plus aimé des fées ». Une légende fait coexister le Graal, les fées, le saint sépulcre. Elle concerne Lohengrin fils de Perceva dont l'épouse ne devra jamais lui demander d'où il vient sous peine d'être délaissée; promesse qu'elle rompt avant de partir vers l'autre monde, le fils du Graal fondera la noble famille de Bouillon. Une impitoyable liberté En des temps à la morale stricte et à la sexualité très codifiée, la fée offre des amours libres, sans péché qui durent un nuit ou une éternité. Mais cette liberté est soumise à des contraintes, à des épreuves à franchir , à des dangers souvent arbitraires car ils relèvent des lois de l'autre royaume, qui peuvent parfois les rendre mortelles. Par rapport aux humaines, elles sont libres de leur corps, de leur cœur, de leur richesse. Elles véhiculent l'espoir et l'image d'une liberté dont les femmes n'ont pas la jouissance car leur corps ou leurs biens ne leur appartiennent jamais entièrement. Quelles que soient leurs compétences, leur naissance, leurs fonctions, elles dépendent d'une autorité masculine prépondérante en ces époques. La fée représente dans la société médiévale ce que la Dame voudrait être, ce que le chevalier voudrait avoir beauté, liberté pour l'une amour, richesse pour l'autre. Malgré la diffusion des livres imprimés auxquels seule une élite pouvait prétendre, le rôle du conteur est essentiel pour tous ceux, nombreux, qui ne peuvent accéder à l'écrit. Les récits anciens continuent ainsi leur chemin, modifiés par le milieu, les événements et le mode littéraire du temps où ils sont contés. L'évolution de l'histoire féerique montre celle de la société et souligne le passage du beau Moyen Âge » XIIe et XIIIe siècle à la légende noire du XIVe et XVe siècle. D'abord objet de désir, promesse d'accomplissement, la fée se trouve dans une deuxième époque soumise à une double évolution. La rationalisation la tolère en la dénaturant elle annihile tout ce qui fait sa différence. La violence de la diabolisation cherche à la détruire. Réduite au rang de sorcière par l'église qui détourne le merveilleux à son profit ce qui suffit à remettre les consciences dans le droit chemin elle est remplacée par les anges et sa lumière s'éteint. Ce qui touche au féerique est de l'ordre de la distraction, mondanité et frivolité. Le christianisme explique et justifie le monde, occupant le terrain du spirituel et de la pratique religieuse. Les fées paient le tribut de leurs origines les enchantements deviennent magie noire , les belles dames se révèlent maléfiques, sont soumises au vieillissement, perdent leur éternelle beauté. Leur fonctions sont assurées par ermites, tandis que les chevaliers sont guidés par les anges qui portent désormais le calice du Graal. Démodées, les fées ? Les dames des forêts, les protectrices des chevaliers, les magiciennes des eaux préparent leurs métamorphose. Avec la Renaissance reviennent les Dieux Gréco-latins, les Arts et la philosophie de l'antiquité classique la mode est au goût Italien. La noblesse, avide de nouveauté, se détourne des romans d'aventures et de merveilles ce fatras à quoi l'enfance s'amuse » comme l'écrit Montaigne. C'est le temps des grandes découvertes. La France se détourne du monde féerique et le style du roman évolue, devient bref rapide enlevé, avec parfois une morale explicite. Au cours du XVIe siècle, la fée et le conte restent inséparables c'est une littérature de plaisir et d'évasion. Puis apparaissent les femmes romancières dans les salons mondains, usant d'une symbolique qui défend leur droit à exister dans une société où leur rôle est très déprécié, bousculant les codes. Mariages forcés, époux monstrueux, autant de thèmes qui reviennent dans les contes, dénonçant la condition des femmes. Celles-ci, lettrées, ont lu des romans médiévaux, connaissent les exploits de la chevalerie et des œuvres anciennes dont elles s'inspirent. À partir de la fin du XVIIe siècle, un nouveau genre littéraire voit le jour le conte de fées. Il gagne rapidement les faveurs du public, grâce aux contes de Charles Perrault. Les fées des contes sont souvent les marraines du héros ou de l’héroïne du conte comme dans Cendrillon, Peau d’Âne ou la Belle au bois dormant. Ce sont des anges gardiens » qui protègent et conseillent leurs protégés. Dans les Aventures de Pinocchio de Carlo Collodi publié en 1881, la fée Bleue, marraine de Pinocchio, est celle qui finit par insuffler la vie au pantin de bois pour le transformer en petit garçon. Parallèlement, il existe quelques fées au caractère maléfique, dont la vieille fée de la Belle au bois dormant plus tard baptisée fée Carabosse est l’archétype. En parcourant le chemin des fées, se lit l'histoire d'une subversion lumineuse la manière dont le conte de fée vient contredire la volonté humaine d'élucider, d'organiser et de contrôler le monde, en suscitant de nouvelles idées, bouleversant l'ordre établi. "Les féees ont une histoire" , oui, elles annoncent que le temps est venu de changer. Là où les lignes bougent, regardez bien il y a une fée ! Leur nom renvoie à des rêveries sans âge et pourtant les voici à faire vibrer une société trop figée, à donner un élan, un souffle nouveau, briser la 'torpeur' des idées, inciter à plus de justice, oui ! tout cela entre dans leur vocation. Sources et illustrations Les fées ont une histoire de Claudine Glot. Editions Ouest-France, octobre 2014. Pour aller plus loin - La Femme dans les contes de fées, de Marie-Louise von Franz. Tallandier, 2015. - Le Monde des fées dans l'occident médiéval, de L. Harf-Lancner. Hachette, 2003. Le mythe de Prométhée guide l’image que l’homme se fait de son rapport à la nature ses manques constitutifs l’obligent à produire des outils, qui le conduisent à une maîtrise toujours plus grande de son environnement. Mais ce mythe prend un sens bien différent selon qu’on l’interprète avec un point de vue antique l’art divin doit permettre à l’homme de s’insérer harmonieusement dans le cosmos ou moderne avec l’art l’homme devient l’égal des dieux et a pour vocation de dominer la nature. Le retournement moderne, lié à la révolution technico-scientifique du XVIIème siècle, a profondément modifié la relation entre l’homme et la nature, et par là aussi bien la définition de la nature que celle de l’homme. Le mot d’ordre de notre époque est très précisément donné par Descartes “nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature”. La conception moderne est ici présente toute entière au moment où l’homme se rend compte qu’il n’est pas au centre du monde, que la nature n’est pas faite pour lui, il se place à l’origine du monde, il considère la nature comme une matière qu’il peut modeler à sa guise. La nature n’a plus de valeur en tant que telle, elle est un espace neutre, mesurable par les mathématiques et modifiable par la technique. Le but n’est pas tant de s’adapter à la nature que de s’y confronter. Une catastrophe naturelle n’est plus une fatalité divine, mais un événement auquel l’homme doit se préparer. Nous voyons aujourd’hui se poser la question “Qui est responsable ?”, comme si l’homme était, ou devait être, la cause de tout se qui se passe dans son monde. La technique est alors conçue comme la pratique suprême de la raison humaine. Loin d’être une béquille qui masque nos faiblesses, elle est le moyen ultime de notre force. L’insistance mise par les encyclopédistes du XVIIIème siècle sur l’artisanat annonce le retournement de valeurs que la révolution industrielle va entériner la compréhension théorique de la nature ne tire plus son intérêt d’elle-même, mais de ses conséquences pratiques. La nature n’est plus un objet à contempler, mais un matériau à modifier. L’homme est un “homo faber” avant d’être un “homo sapiens”. Qu’on voit, aujourd’hui, les difficultés auxquelles la recherche fondamentale est confrontée, faute de justifier par des applications techniques les moyens qu’elle engage ! La nature n’est plus la source des valeurs. C’est l’homme qui lui impose les siennes, de part une étrange utilisation du droit du plus fort C’est à ce point de l’histoire humaine que nous sommes parvenus. Mais, devant nos yeux, et depuis à peu près un demi-siècle si l’on veut une date précise, le 6 août 1945 Hiroshima, s’opère un nouveau retournement. La technique, encensée auparavant comme source et fi n des progrès humains, se voit accabler de tous les maux de notre époque contemporaine. Les premières critiques insistaient sur l’absence de contrôle que l’homme possédait sur sa propre création. L’homme devenait l’esclave de l’instrument même de sa maîtrise sur la nature ! Marcuse montre de manière frappante ce danger la raison technique ne cherche plus seulement à transformer la nature en outil, mais elle instrumentalise l’homme lui-même. Comment ne pas penser à l’homme-machine dépeint de manière si marquante par Chaplin dans Les Temps modernes ? Mais ce n’est pas tout. Plus récemment encore, c’est au nom de la nature que la critique envers la technique se fait. Une certaine pensée écologiste, reprenant le lieu commun romantique sur la pureté de la nature face aux méfaits de l’homme, émet un jugement moral sur l’action de l’homme celui-ci se rend coupable de crime, déjà en détruisant la nature, mais aussi en se situant au-dessus d’elle, ce qu’il n’a aucun droit de faire. A ce propos, les analyses anti-specistes de Singer, qui affirme clairement son anti-humanisme, sont frappantes. A côté de ces analyses radicales, se situe un discours qui insiste sur la protection de la nature, non plus pour elle-même, mais comme milieu de vie de l’homme. De ce point de vue éminemment moderne, la puissance de l’homme est telle, qu’il se rend responsable de la nature elle-même. Ayant le pouvoir de la détruire, il se doit de modifier son comportement, de restreindre ses ambitions techniques, pour laisser la vie subsister. Jonas en tire une éthique dont est héritier le fameux “principe de précaution”. Dès lors, tous les moyens sont bons pour retourner l’opinion contre les dérives techniques, notamment l’utilisation de la peur. Nous reconnaissons ici certains discours très contemporains ! Contre un certain risque technophobe, ne peut-on pas penser un humanisme qui ne soit pas béatement technophile ? D’une part, aucun penseur, même le plus alarmiste, n’accepterait l’abandon des découvertes médicales qui améliorent tant la qualité et la longueur de la vie humaine. N’oublions pas que, à peine prononcé sa si célèbre sentence, Descartes insistait sur l’intérêt de l’art pour la santé. D’autre part, nous pouvons trouver des solutions purement techniques aux problèmes créées par la technique, comme le montrent les recherches concernant les nouvelles énergies. Mais, plus fondamentalement, il faut peut-être revoir la conception même que l’homme se fait de la nature. Ni ordre parfait, ni réservoir indéfini d’énergie, la nature est d’abord ce que l’homme y fait. La préserver ne doit pas se faire au détriment de l’homme, mais dans le sens de son propre développement. L’homme n’est ni maître, ni esclave de la nature. Par contre, il peut être maître ou esclave de lui même dans sa relation avec la nature. Il lui reste à créer les conditions pour s’engager dans la première direction…

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